Zineb Boumart, Zahra Bamouh, Noha Semmate, Khalid Omari Tadlaoui and Mehdi El Harrak

Dans cette étude, 55 cas cliniques suspects de pasteurellose provenant de différentes provinces du Maroc ont été examinés. Moléculaire L'analyse a révélé que 47% des échantillons étaient positifs pour Pasteurella multocida, tous typés en tant que sérogroupe A, et 11% positifs pour Mannheimia heamolytica. Huit isolats ont été récupérés à partir de 26 échantillons positifs à P. multocida, et caractérisés par des méthodes biochimiques et de typage moléculaire. Parmi ces isolats, deux souches (S13 et S14) ont été sélectionnées pour l'analyse de la séquence des gènes (RNA16S et rpoB) et l'étude de la virulence chez la souris, le cobaye et le mouton. L'étude de la phylogénie a montré des similitudes entre les isolats S14 et S13 et les souches d'autres espèces. Chez les animaux de laboratoire, la souche S14 était plus virulente que la S13 et a provoqué une maladie grave chez les moutons. La mortalité élevée des souris infectées suggère que ce modèle peut représenter une alternative pour tester la pathogénicité et l'efficacité des vaccins.

Mots clés : Pasteurella multocida, phylogénie, souris, mouton, pathogénicité.

La maladie: Maladie respiratoire
Publié: 2021